Le Machin qui avait été invité de danser sur les tombeaux des poilus, pleurniche aujourd'hui, après l'annulation de son concert, en évoquant son grand-père, « tirailleur français », héros donc de la France.
Tout d'abord, un grand-père n'est jamais, mais JAMAIS son propre petit-fils.
Aussi, le petit-fils n'est jamais, mais JAMAIS sont propre grand-père.
Sauf, dans les couloirs de l'Hospice de St. Anne, à Paris.
Le grand-père du Machin est mort.
Je trouve ça dommage. S'il était vivant encore, il aurait pu prendre son petit-fils pour lui appliquer une bonne fessée.
Absolument nécessaire, cette fessée. Et pas seulement pour le petit-fils, mais aussi pour beaucoup d'autres dont l'organisation intellectuelle et morale s'avère très dérangée. Pour le bien de ces dernières, la gentille fessée serait salutaire, avant qu'elle ne bascule et ne devienne une méchante RACLÉE.