Sept (ni plus ni moins – comme les sept merveilles du monde) états acceptés dans les G20 – et j'ai nommé l'Australie, le Canada, l'Indonésie, la Grande-Bretagne, le Mexique, l'Afrique du Sud et la Corée du Sud – ont écrit à Nicolas Sarkozy pour dire que les états de l'Europe doivent agir vite-vite pour juguler la crise...
- Comme si elle pouvait être jugulée.
Comme si.
Parmi les desiderata exprimés par lesdits épistoliers se trouve celle de la non-dévaluation de l'euro.
- Il ne faut pas dévaluer l'euro.
Non, non et non.
Et non !
Je pense qu'un verre s'impose. Nous n'allons pas laisser passer ça sans fêter et souligner l'idée de la non-dévaluation de l'euro.
Et on pourra continuer même demain.
Si ça se trouve.
Et même si ça se trouve pas, non ?