En lisant Onfray, « L'ordre libertaire. La vie philosophique d'Albert Camus », je me pose des questions : Camus, philosophe? Nietzsche, philosophe ? Bakounine, philosophe? Onfrey, philosophe ? (Pour ne pas continuer : et moi, philosophe moi aussi ?)
Que des questions rudimentaires, rajeunissantes, bienfaisantes.
Et, en peu plus loin et avec un peu plus de sérieux :
- Qu'est-ce qu'on peut opposer à la vivifiante hystérie libertaire (dont la « globalisation » contemporaine n'est qu'une manifestation détournée et perverse parmi d'autres, mais plus concrète et réelle que beaucoup d'autres) sinon un mou et soporifique amusement transcendantale (capable de joindre d'une manière toute aussi détournée et perverse que tout à l'heure l'inutile à l'utile) ?
Après quoi, un peu plus loin encore :
- Et pourquoi donc créer une telle opposition ?
Rien que pour ceci-cela !
- Na !